Je te bats, me suis coupé 3 doigts en meme temps sur un boitier de pcDens a écrit :ouch je viens de me couper avec une enveloppe
Le Topic qui ne sert à rien
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C'est la crise a Vegas
Durement affectée par la crise, la cité du jeu et de la fête vient d'obtenir le titrede «la ville la plus vide» par le magazine «Forbes».
Le «strip», la grande avenue de Las Vegas bordée de casinos et d'hôtels de luxe, ne scintille plus que pour de rares touristes. Au mois de janvier, 30 000 réservations d'hôtels ont été annulées, principalement par des entreprises ayant renoncé à organiser leurs séminaires dans «la ville du péché» (Sin City).
La métropole du Nevada, qui concentre 70 % de la population de cet État désertique, affiche désormais un taux de chômage de plus de 10%, supérieur à la moyenne nationale. Dans le classement du magazine Forbes, Las Vegas vient de détrôner Detroit, ville industrielle sinistrée du Michigan, comme «la ville la plus vide» d'Amérique, frappée par un taux d'inoccupation de 16 %. Le nombre de conférences professionnelles a chuté de 12 % en 2008. Les casinos affichent une baisse de leurs revenus de 15 % (près de 26 % pour le seul mois d'octobre 2008). La valeur des biens immobiliers s'est effondrée de 41 % en moyenne. «C'est un massacre, commente le promoteur immobilier Laurence Hallier, qui n'a vendu que la moitié des appartements de son dernier gratte-ciel. Tout est gelé. Nous sommes terrifiés.»
Mise en garde d'Obama
Il n'y a pas si longtemps, la vie était belle à Las Vegas. Chaque année, 39 millions de visiteurs s'y pressaient et dix nouvelles écoles devaient être créées pour les nouveaux arrivants. Les 140 000 chambres d'hôtels étaient presque toujours occupées. Les salles de spectacle, qui faisaient, avec le jeu, l'attrait de la ville, ne désemplissaient pas. Mais qui a encore les moyens d'aller gaspiller son argent à Las Vegas, lieu de tous les excès ?
La crise économique n'est pas seule responsable. La ville paye pour son image qui sent le soufre, et qui était jusqu'ici son fonds de commerce : «Ce qui se passe à las Vegas reste à Las Vegas», disait le slogan. Ce n'est plus vrai. La réprobation suscitée par les colloques somptuaires de quelques entreprises sauvées du naufrage grâce aux fonds publics a accéléré le revers de fortune. Après une mise en garde de Barack Obama aux patrons, Goldman Sachs a annulé un séminaire pour le transporter à San Francisco, moyennant 600 000 dollars de pénalité.
Sur le Strip, d'énormes chantiers sont abandonnés faute de financement. Les milliardaires israéliens Yitzhak Tshuva et Nochi Dankener, propriétaires du Plaza à New York, y avaient acheté un terrain de 17 hectares pour 1,25 milliard de dollars en 2007 : deux ans plus tard, il ne vaut plus que 650 millions. Près de la moitié des maisons disponibles ont été saisies à la faveur de la crise du subprime.
«Je reçois tous les jours des offres de 2 billets de spectacle pour le prix d'un, raconte Christophe Pilinski, un Français au chômage depuis plusieurs mois. Avant la crise, on était toujours sûr de trouver du travail à Vegas. C'est fini. La ville est devenue un piège.»
Le «strip», la grande avenue de Las Vegas bordée de casinos et d'hôtels de luxe, ne scintille plus que pour de rares touristes. Au mois de janvier, 30 000 réservations d'hôtels ont été annulées, principalement par des entreprises ayant renoncé à organiser leurs séminaires dans «la ville du péché» (Sin City).
La métropole du Nevada, qui concentre 70 % de la population de cet État désertique, affiche désormais un taux de chômage de plus de 10%, supérieur à la moyenne nationale. Dans le classement du magazine Forbes, Las Vegas vient de détrôner Detroit, ville industrielle sinistrée du Michigan, comme «la ville la plus vide» d'Amérique, frappée par un taux d'inoccupation de 16 %. Le nombre de conférences professionnelles a chuté de 12 % en 2008. Les casinos affichent une baisse de leurs revenus de 15 % (près de 26 % pour le seul mois d'octobre 2008). La valeur des biens immobiliers s'est effondrée de 41 % en moyenne. «C'est un massacre, commente le promoteur immobilier Laurence Hallier, qui n'a vendu que la moitié des appartements de son dernier gratte-ciel. Tout est gelé. Nous sommes terrifiés.»
Mise en garde d'Obama
Il n'y a pas si longtemps, la vie était belle à Las Vegas. Chaque année, 39 millions de visiteurs s'y pressaient et dix nouvelles écoles devaient être créées pour les nouveaux arrivants. Les 140 000 chambres d'hôtels étaient presque toujours occupées. Les salles de spectacle, qui faisaient, avec le jeu, l'attrait de la ville, ne désemplissaient pas. Mais qui a encore les moyens d'aller gaspiller son argent à Las Vegas, lieu de tous les excès ?
La crise économique n'est pas seule responsable. La ville paye pour son image qui sent le soufre, et qui était jusqu'ici son fonds de commerce : «Ce qui se passe à las Vegas reste à Las Vegas», disait le slogan. Ce n'est plus vrai. La réprobation suscitée par les colloques somptuaires de quelques entreprises sauvées du naufrage grâce aux fonds publics a accéléré le revers de fortune. Après une mise en garde de Barack Obama aux patrons, Goldman Sachs a annulé un séminaire pour le transporter à San Francisco, moyennant 600 000 dollars de pénalité.
Sur le Strip, d'énormes chantiers sont abandonnés faute de financement. Les milliardaires israéliens Yitzhak Tshuva et Nochi Dankener, propriétaires du Plaza à New York, y avaient acheté un terrain de 17 hectares pour 1,25 milliard de dollars en 2007 : deux ans plus tard, il ne vaut plus que 650 millions. Près de la moitié des maisons disponibles ont été saisies à la faveur de la crise du subprime.
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Re: C'est la crise a Vegas
Moi qui croyait avoir un copyright sur ce slogan mais c'était "ce qui se pass à Llorret del Mar, reste à Llorret del mar!"Batman a écrit : «Ce qui se passe à las Vegas reste à Las Vegas»
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Possible que le Charisme d'Ed Deline t'ai perturbé


Dernière modification par ptitecrotte le 05/03/2009 18:52, modifié 1 fois.
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